BIBLIOGRAPHIE
Livres
Pierre Rabhi - Vers la sobriété heureuse [ Edition Babel - 2010 ]
Lucie Davoine - Economie du bonheur [ Edition La découverte - 2012 ]
Steve Cutt - http://www.letribunaldunet.fr/photos/realiste-illustration-de-triste-monde.html
Benjamin Lesage - Sans un sous en poche [Edition Arthaud poche]
Films
South Park - S18E02 [ Matt Stone et Trey Parker ]
Dallas Buyers Club - Jean-Marc Valée
Iron Man - John Favreau [ Marvel - 2008 ]
Wall-E - Pixar [2008]
Vidéos
Maladies à vendre - DATAGUEULE n°37 [ Youtube.fr/DATAGUEULE#37 ]
How To Buy Hapiness - Michael Norton [ Ted.com ]
Partage des richesses d'hier à aujourd'hui - Jean-Phillipe Morel [ changetherules.org ]
Images satiriques : Pawel Kuczynski
Album
Kery James - Savoir et vivre ensemble [ 2004 - Prod. Naïve Records ]
Décroissance
Malgré toutes les pressions que les systèmes financiers nous font subir, il existe la décroissance. Ce mouvement passe par les idéaux de la rébellion face à l'argent et ses vices.
Ce système se calque sur la donation, le troc et la récupération: un système durable basé sur la confiance, l'échange et le bonheur des individus qui le compose.
Pour illustré cela, un livre touchent de Benjamin Lesage: " Sans un sous en poche"
Récit de voyage racontant l'épopée de trois étudiant des Pays-Bas, installés à Amsterdam. Ils saturent de ce système capitaliste occidental et recherchent leur bonheur loin de l'argent et des vices qu'il apporte.
Il partent un an, sans argent, et comme but le Mexique. Leur voyage est donc soutenu par toutes les personnes qui les prennent en stop, les hébergent et les nourrissent. Une belle aventure humainement complète, et un accomplissement personnel optimum.
On voit dans ce récit que tout le monde ne trouve pas son bonheur dans l'argent, le matériel ou tout ce qui s'y rapporte. On peut donc se questionner sur:
Comment développer nos connaissance et liens loin des systèmes financiers?
Bonheur dans l'économie?
Les économistes ont réaliser il y a à peut près 30 ans que le facteur le plus important des conditions mentales du peuple n'était pas prise en compte dans le critère de dévellopement humain: le bonheur!
source : Université de Leicester
Tout est pris en compte de l'étude sur les chaines télévisées regardées jusqu'à le taux de dévellopement humain lui même. Mais on a omis de s'attarder sur le bien-être même des individus qui composent cette société.
Le doute fût semer lorsque les études prouvèrent que l'argent n'était pas au coeur de l'épanouissement personnel partout dans le monde. Le Boutan, petit pays de l'Hymalaya, ou le PIB par habitant est 5 fois inférieur à celui de la France, est considérer comme pays le plus heureux!Une autre économie est mise en avant: le Bonheur Intérieur Brut. Calqué sur le principes d'études, il est calculé sur des critères qualitatifs, plus en adéquation avec la notion même de bonheur.
Solenn Cordroc’h
Quelques photos et explications
L'argent fait-il toujours le bonheur?
http://info.arte.tv/fr/bhoutan-au-pays-du-bonheur-national-brut
ARTICLE 7 : Economie du bonheur - Lucie Davoine
Lucie Davoine est une jeune doctorante spécialisée dans la satisfaction au travail et l'économie du bonheur. Elle écrit un premier livre sur ces thèmes intitulé "Economie du bonheur". Voici la présentation de cet ouvrage :
"Qu'est-ce qui nous rend heureux ? Notre mariage ? Nos enfants ? Une promotion ? Le sentiment d'avoir bien fait notre travail ? Psychologues, médecins et sociologues se penchent sans aucun doute sur le sujet, mais l'économie, appelée parfois la « science lugubre », peut aussi apporter des éléments de réponse à la question essentielle de la nature et des causes du bonheur.
Au tournant des années 2000, le nombre d'articles et de livres publiés par des économistes sur le bonheur a crû de manière exponentielle. Comment expliquer une telle révolution ? Quels sont les méthodes et les principaux enseignements de l'économie du bonheur ? Les économistes ont cherché à savoir si l'argent faisait le bonheur et si la croissance économique s'accompagnait de mieux-être. Rien n'est moins sûr. Le contexte social et culturel joue un rôle crucial : inégalités, chômage, défiance au sein de la société, absence de participation civique sont autant de facteurs qui contribuent à miner le moral. Le bonheur, une donnée éminemment individuelle, désormais sondée et mesurée, se retrouve alors au coeur de débats politiques.
Elle s'intéresse notamment dans ce livre au "paradoxe d'Easterlin" qui veut que la croissance économique aux Etats-Unis n'ait pas rendu ses citoyens plus heureux. Et pose son analyse : "Ce n'est pas la croissance en tant que telle qui compte, mais la manière dont elle est produite, consommée, distribuée et partagée."
L'économie, mais pas seulement. Le bonheur est lié à une diversité de facteurs : travail, vie privée, religion, culture, institutions politiques... Tous ses aspects ont longtemps été analysés par les économistes, les psychologues et les sociologues. L'auteur fait le point sur les théories existantes, leurs limites et les débats toujours existants. Selon L. Davoine, l'argent ne fait donc pas le bonheur comme le dit si bien l'adage.
Ouvrage : Economie du bonheur
Auteur : Lucie Davoine
Edition : La découverte
Collection : Repères
Année de publication : 2012
Liam Bigeard
ARTICLE 6 : Partage des richesses d'hier à aujourd'hui
Partage des richesses d'hier à aujourd'hui est une vidéo d'un mouvement de lutte pour changer les règles du partage des richesses à l'échelle mondiale. Evidemment, le bonheur est directement liés aux ressources offertes aux humains (nourriture, eau, énergies...). Un accès suffisant en ressources pour vivre confortablement devrait suffire pour être heureux. Or, nous savons que les richesses ne sont pas très bien équilibrés à travers le monde, comme le démontre ce court reportage.
Voici le diagramme de comment pourrait être le monde avec un partage des richesses équilibrés, divisé en 5 groupes, puis, ce même diagramme montrant les réelles proportions.
Des chiffres alarmants sont énoncés dans cette vidéo : les 1% les plus riches de la planète ont accumulé 43% des richess mondiales, les 80% de la tranche inférieur de se partage les 6% restant laissés par les 20% restant. 300 personnes sur terre possède autant que les 3 milliards de personnes les plus pauvres, qui ont très peu d'accès à l'éducation et à la santé. Ces disparités économiques sont responsables du malheur inévitable des personnes les plus pauvres du monde.
Historiquement, ces richesses n'ont pas toujours été aussi déséquilibrés, avant les pays riches étaient environ 3 fois plus riches que les pays pauvres. Après la colonisation, ces pays sont devenus 35 fois plus riches, aujourd'hui, ce chiffre s'élève à 80%. Des disparités en augmentation constante.
130 milliards d'euros sont déversés par les pays riches aux pays pauvres chaque année. En revanche, l'évasion fiscale rapporte environ 9OO milliards d'euros. De plus, les pays pauvres envoie chaque année 600 milliards de dollars pour rembourser les emprunts. On peut ajouter aussi l'argent perdu par les règles commerciales imposé par les pays riches pour une main d'oeuvre toujours plus bon marché et pour s'assurer l'accès aux ressources.
A cause de se déséquilibre économique considérable entre les individus, l'accès au bonheur deviens impossible pour une grande partie de la population mondiale. Face à ces chiffres alarmant, une seule solution : changez les règles.
Narrateur : Jean-Phillipe Morel
Lien URL : https://www.youtube.com/watch?v=e0T_OBQzWKo
Mouvement : changetherules.org
Liam Bigeard
Pouvoir ou illusion?
L'argent, nouveau dieu, matérialisation du pouvoir à l'état brut, est la clef de l'épanouissement personnel dans notre société.
Aujourd'hui, avoir un compte en banque rempli donne des privilèges, du respect, une appartenance à une classe sociale, permet le luxe:
Tout ceci définit finalement le pouvoir. Du moins c'est ce que l'on croit.
Dans le système actuel, toute notre vie est consacrée à la quête à l'argent: avoir un emplois, qu'on gardera 40ans, pour faire des sous. L'argent est devenu la nouvelle aumône du peuple, si convoitée et source de bonheur et de liberté. Mais également synonyme de corruption et de vice. La grandeur de l'argent est bien souvent idolâtrée, mais on oublie rapidement tout le malheur, la destruction et la disparité qu'il créée.
C'est ce que Pawel Kuczynski, artiste polonais, nous décrit dans cette satire de la société.
Petit point sur l'artiste :
L'artiste polonais Pawel Kuczynski a travaillé sur des illustrations satiriques depuis 2004, spécialisée dans des images réfléchies qui font en sorte que son public se questionne quotidiennement. Ses oeuvres traitent de tous les sujets sensibles d'une société qui court à sa perte. Il aime dénoncer, heurter, choquer par ses oeuvres et les travers qu'ils dénonce: des médias à la politique, en passant par la pauvreté, jusqu'à la maltraitante animale. Tous ont un message puissant, plus ou moins facilement perceptible. C'est d'ailleur pour cela que P. Kuczynski choisi l'image comme support: c'est ce qui marque le plus et qu'on retient le mieux.
L'Oeuvre:
Ce que l'on remarque au premier abord, c'est cette continuité verticale sombre au centre qui représente un agenouilloir (prie-Dieu) et un distributeur de monnaie. On aperçoit un livre religieux (ici, la Bible) posé sur le meuble en bois. Le rapport à la religion n'est donc pas réfutable. Les deux installations sont enveloppées par le jaune moutarde, couleur peu agréable d'ailleurs, qui est omniprésente sur la scène statique.
Dans notre sociétés de consommation actuelle, l'argent est le Graal: assouvissement de tout désir, la sécurité et le bien-être assuré, une place dans la strate sociale supérieure. Il est la route à suivre car sans lui, nous ne sommes rien. Pire encore, nous ne pouvons pas vivre... Car tout est régis par l'argent: la terre, la nourriture, l'eau. Même l'air est altéré du à la pollution, qui émane des usines sous des pressions financières monumentales.
Nous avons donc fait un culte de l'argent, qui nous prodiguait tous ce dont on avait besoin. Petit à petit se sont donc crées des accoutumances, qui sont devenues besoins.
Comme Jésus distribua le vin et le pain, la banque distribua la faim.
De plus en plus de besoins, une faim constante de plénitude, de bonheur. C'est là que P.Kuczynski nous démontre l'importance et l'adoration que l'on donne à l'argent. C'est lui et uniquement lui qui nous promet une vie sereine, d'abondance et de bonheur. Tel la religion, l'argent donne un but à notre vie, un objectif à atteindre. Tout cela par le biais de la consommation (prière).
Et là, nous devenons dépendants de ces choses que l'on achète sans même s'en rendre compte . Une sorte d'adiction matérielle qui nous obsède si le manque se fait sentir : le smart-phone, la télécommande TV, le micro-onde. Nous devenons esclaves de nos propres biens.
" Les choses que l'on possède finissent par nous posséder." Fight Club
L'argent au détriment de l'environnement
La course à l’argent et à l épanouissement personnel on déconnecter l’homme de sa place au sein de la nature.
Exploiter, forer, extraire, toujours au profit du pouvoir apporter par la monnaie.
L’homme ne perçoit plus la nature pour son harmonie, l’apaisement qu’elle apporte, mais comme source de denrée intarissable, ou grande décharge à ciel ouvert. Ceci pour une procrastination incessante, toujours pour tenir un bonheur plus immédiat mais éphémère.
Steve Cutt- http://www.letribunaldunet.fr/photos/realiste-illustration-de-triste-monde.html
Ceci est un soucis à très grande échelle, qui va se perpétuer dans le temps sans prise de concsience.
Un film à concience écologie très touchant nous montre cet avenir, presque apocalyptique:
WALL-E
Un film Pixar de 2008, réaliser par Andrew Stanton racontant l'histoire d'un robot envoyer sur terre pour nettoyer la planette ravagée par la surconsomation humaine. Il évolue dans un décort de désastre écologique que les hommes ont laisser derrière eux. Une autre forme robotique à donc pour mission de trouver une forme de vie sur terre et de la ramener. Ceci prouvera la vie possible sur la Planette Bleue.
Bande annonce ci-dessous:
http://www.dailymotion.com/video/xpy4w2_wall-e-bande-annonce-vo_shortfilms
ARTICLE 5 : Kery James - Savoir et vivre ensemble
Une enfance pauvre et très compliqué dans les quartiers parisiens, a poussé Kery James à faire de la musique. Loin déja très jeune de la scolarité, le rap deviens très jeune pour lui unne forme d'expression. Kery est adolescent quand il commence déja le trafic de drogues, l'alcool, les bagarres de nuit, et tout ses aspects se retrouvaient dans son rap dit "hardcore", plutot violent. Après la mort de plusieurs amis proches, retrouvés assassinés, Alix Mathurin, de son vrai nom, prend un nouveau regard sur sa vie, dangereuse dont les seuls fins auraient été la mort ou la prison.
Il se convertit à l'Islam, qui lui apporte une nouvelle façon de vivre. Une religion qui lui enseigne des valeurs de paix, d'amour et de sobriété. Selon lui, l'islam lui a radicalement sauver la vie et fait de lui un homme meilleur. Kery James sort, en 2004, son première album depuis sa conversion. Un projet musical à sonorités très africaines et aux textes positifs.
Pour Kery James, le bonheur réside dans la paix et l'harmonie. A grande échelle, il soutient la plupart des combats anti-colonialistes, comme en Palestine, par exemple, mais également les combats contre les guerres économiques qui déciment des populations, et l'extremisme religieux. L'essentiel du bonheur, selon lui, est d'entretenir des relations pacifiques avec son entourage, sa famille et ses proches. Mener sa vie honêtement et toujours tendre à être meilleur avec les autres. Pour lui, l'argent n'est pas source de bonheur, car son importance varie en fonction des pays, des familles, etc. Les liens sociaux, la famille et l'intelligence d'esprit feraient donc partis des principaux facteurs du bonheur humain.
Album : Savoir et vivre ensemble
Auteur : Kery James
Label : Naïve records
Sortie : 23 avril 2004
Liam Bigeard
ARTICLE 4 : South Park S18E20 - Freenium isn't free
South Park est un dessin animé Américain célèbre et très controversé aux Etats-Unis. Déja 20 saisons que Matt Stone et Trey Parker animent des personnages en 2D, dans une petite ville inventée des Montagnes Rocheuse, du nom la série. Les personnages principaux sont quatre enfants de 8 ans. Eric Cartman, Stan, Kyle et Kenny. Cartman est "le gros con" du dessin annimé, antismite, raciste, intolérant, c'est surement le pire personnage inventé dans l'animation, malgré qu'il soit paradoxalement attachant. La série est absurde, mais également très dénonciatrice de tous phénomènes de société. Elle souligne notamment toutes les malfaits et les incohérences du système capitaliste est des occidentaux en général, en Amérique. Les 3 autres enfants du groupe croient profondemment aux valeurs du partage, de la paix et de l'honneteté. Ils apportent à cette série des plus satiriques jamais crées (Politique, Religion, Sectes, Guerres, Economie, Société...) une morale très intelligente. Le fait est que les adultes de l'animation sont souvent les plus idiots.
Cet épisode met en avance Stan, à qui on conseille de jouer à un jeu sur smartphone, gratuit, basé sur un concept simple, explorer la ville, collecter des pièces, construire sa ville, et l'améliorer grâces aux fausses pièces. Le jeu n'est pas passionnant, mais il est gratuit, et cela suffit à Stan pour être heureux. Les concepteurs du jeu, deux ministres canadiens, travail dans leur bureau sur l'arnaque des jeux "Freenium". Ils décrivent le principe du micropaiement. Des petites sommes payés directement sur le téléphone, pour obtenir plus de pièces. Stan deviens addicte sans se rendre compte des sommes dépensés. Ce jeu le rend malade et brise ses liens sociaux, et avec son père Randy qui hurle de recevoir des factures exorbitantes.
"Freenium isn't free" cible cette manipulation, liés aux nouvelles technolgies, basés sur la rentabilité de l'addiction des gens. Elle est aussi comparée à d'autres industrie, l'alcool, notamment. En effet, l'alcool est néfaste mais les publicités sont nombreuses, et les consommateurs de plus en plus nombreux et de plus en plus jeunes.
Selon la morale finale, le bonheur des gens, qui peut se trouver dans les plaisirs simples comme de jouer à un jeu vidéo, quel qu'il soit, ne doit pas dépendre de l'addiction en dépit des économies personnelles.
Serie : South Park
Episode : Saison 18#02
Auteurs : Matt Stone et Trey Parker
Liam Bigeard
ARTICLE 3 : Maladies à vendre #DATAGUEULE37
Aujourd'hui, les avancés technologiques ont permis l'arrivée de nouvelles formes de communication, notamment via la sphère internet. Un avantage, celui de laisser place aux journaux d'informations indépendants. Luttant contre le contrôle de l'information et la manipulation médiatique, DATAGUEULE est une chaîne Youtube, coproduite par France Télévision. Elle est basé sur une dénonciation de problèmes majeurs, liés souvent à l'économie et au système capitaliste. Ce groupe indépendant s'appuie uniquement sur des donnés chiffrés.
"Si vous n'êtes pas malade, c'est que vous ne le savez pas encore", voila comment d'un ton neutre la narrateur considère l'importance des faits énoncés dans la suite de la vidéo.
La médecine occidentale est très liée au système économique, c'est un business. Il énonce tout d'abord les bénéfices de l'industrie pharmaceutique qui à quelques milliards prêts, égale l'industrie agroalimentaire. Des milliards de médicaments vendues, consommer par les foyers, avec 2000 substances actives connue, une belle vitrine. Tout ce commerce appuyé par la recherche scientifique. Or le nombre de molécules pouvant intéragir avec notre métabolisme n'est pas infinie, on ne peut pas crée de nouvelles molécules, et voilà le scandale de l'invention de phatologies. Il y a plus d'argent investis dans le marketing et la publicitée que dans la recherche et le developpement. Ce système rapporte 28 milliards de dollars par an, rien qu'aux Etats-Unis.
Plusieurs cas concrets ayant fait polémique sont cités dans cette vidéo. Le médiator par exemple à fait plus de 1300 morts à long terme. Le mode d'alimentation moderne du à l'industrie agro-alimentaire (Soda, fast-food, ect..) est vecteur de syndromes métaboliques, associant surpoids, cholesterol, diabète et hypertension. Géant de la pharmacie, Sanofi à crée un médiacement qui lutte contre ce lot de symptomes. L'Accomplia, qui cause de lourds problèmes mentaux, à été retiré un an et demi après sa mise sur le marché, car 1200 malades on souffert de troubles psycologiques allant même jusqu'à pousser 4 individus au suicide. Le cas de la Ritaline est assez flagrant, médicament luttant contre le manque d'attention et de concentration chez les enfants. Entre 2005 et 2011, le nombre d'enfants traités à la Ritaline à augmenter de 71%. Or le seul essai clinique mené sur trois ans montre qu'elle n'est pas plus efficace qu'un traitement comportemental sans médiaments, alors que ses effets secondaires peuvent aller de l'hallucination jusqu'au retard de croissance.
Pour être heureux, il faut vivre. Vivre en bonne santé paraît primmordiale, afin d'éviter, à soi et ses proches, toute sorte de souffrances physiques et psycologiques. Nous voyons bien que la recherche de rentabilité extrême, est propre au système capitaliste et se retrouve dans les plus grandes firmes mondiales ( Agroalimentaire, construction, alcool). L'industrie pharmaceutique ne déroge pas à la règle, et dans sa quête de pouvoir et de richesses, ne se soucie pas du bonheur et de la santé des consommateurs. La médecine est donc très importante pour que l'on puisse être heureux, mais la médecine occidentale n'est donc pas forcement idéale. Beaucoup de chercheurs s'appuient sur des médecines alternatives propres à d'autres continent. Certains chercheurs ont découvert que la psycologie avait un impact sur la santé physique des gens. Un américain à mesuré l'efficacité de tous les traitements pour soigner le cancer, il s'est penché sur un groupe de malades, et ceux qui guérissaient avaient bénéficié de traitements différents les uns des autres, par contre, il avaient tous quelque chose en commun, ils croyaient en leur guérison, en leur médecin ou en leur traitement, ils avaient une confiance totale (Voir Laurent Gounelle - L'homme qui voulait être heureux).
A lire et à regarder en lien avec l'article : Laurent Gounelle - L'homme qui voulait être heureux / Dallas Buyers Club - Jean-Marc Valée
Source URL : https://www.youtube.com/watch?v=aOPW6wzs8Ks
Programme de : PremièresLignesTélévison et Story Circus
Coproduction : FranceTélévision
Réalisation : Julien Goetz et Henri Poulain
Date : 16 mai 2015
Liam Bigeard
Propagande
L'image du riche heureux, et du pauvre qui fait la gueule.
Dans l'américanisation des symboles de communication et un capitaliste à son apogée, on véhicule un message de bonheur atteignable par la possession.
On perçoit cela facilement dans les films à grand budget américain. Le personnage de haute classe social, au top des technologies actuelles, voir futuriste, possèdent tout les gadgets à la mode. Un exemple illustre parfaitement cette image:
Iron Man
Tony Stark, play-boy, milliardaire, est l'héritier de l'usine d'armement de son père "Stark Industrie", cet est également un inventeur hors du commun. Alors qu'il est en déplacement en Afganistant pour sa dernière arme de destruction, il est enlevé par des terroristes. Gravement blessé lors de l'attaque, il ne survit que grâce à l'aide d'un scientifique qui le guérit en lui greffant à la poitrine un électro-aimant placé près de son cœur et alimenté par une batterie de voiture.
Les terroristes le torture pour obtenir sa dernière arme, qu'il ne construira pas: il leur réserve une surprise. C'est un robot high-tech qui leur est présenter et qui a pour but de les élimine. Ainsi Tony Stark réussit à s'échapper, mais restera profondément choquer par cet épisode.
Production : Paramount Picture
Marvel studios
Réalisateur : Jon Favreau
Date : 2008
Au premier abord, Tony Stark a et est le rêve de toute une vie; belle voiture, classe, pouvoir. Il est un idéal. Or, tout au long du film, il est plonger dans une atmosphère où l'argent ne peut rien pour lui. Une mauvaise passe. Il comprend que seul ses capacités peuvent le sauver. Ceci changera ses orientations et ses engagements.
ARTICLE 2 : Pierre Rhabi - Vers la sobriété heureuse
Pierre Rabhi est un des pionniers de l'agroécologie. Agriculteur biologique, essayiste, romancier, conférencier et fondateur du mouvement Colibri, il décide à ses 20 ans de se soustraire, par un retour à la terre, à la civilisation "hors-sol" qui commence à se dessiner sous ses yeux.
"J'ai alors 20 ans, et la modernité m'est apparue comme une immense imposture"
Adepte des écrits sur la terre, l'agriculture et le monde vivant, cet ouvrage inspire surtout l'anéantissement de la machine économique et l'exploitation des ressources, qu'il combat par un mode de vie plus simple, respectueux et proche de la nature. C'est en ces termes qu'il défini son bonheur, et celui qu'il souhaite pour les êtres humains, la sobriété heureuse.
En France seulement depuis son adolescence, Pierre Rabhi vois en France, aux champs et à l'usine, l'homme s'aliéner au travail, à l'argent, à seul fin de faire tourner la machine économique. Depuis longtemps, l'économie au lieu de gérer et répartir les ressources communes à l’humanité, s’est contentée d'une recherche de croissance illimitée appuyée par la science. On peut désigner l'exploitation généralisée des ressources et des matières premières, rompant ansi une partie de son lien filiale avec la nature. Selon P. Rabhi : seul le choix de la modération de nos besoins et désirs, le choix d’une sobriété libératrice volontaire, permettra de rompre avec la mondialisation. Remettre l’humain et la nature au coeur de nos préoccupations, pour redonner une légereté au monde.
Auteur : Pierre Rabhi
"Vers la sobriété heureuse"
Edition : Babel
Liam Bigeard
ARTICLE 1 : How to buy happiness - Michael Norton
Cette vidéo soulève parfaitement le rapport entre l'argent et le bonheur. Depuis 1984, TEDx propose des séries de conférences au format court, organisés au niveau international, sur tout type de sujet (Technologies, sciences, design, divertissement...). Cette organisation indépendante à pour but principal le partage et la diffusion d'idées, sur de larges choix de thèmes afin d'essayer de faire changer les comportement.
Michael Norton est l'animateur de cette conférence, c'est un professeur réputé du commerce et de l'administration à l'université prestigieuse d'Harvard.
Il commence son discours la relation inévitable entre l'argent et le bonheur, mais annonce que la façon dont on le dépense peut influer considérablement notre état d'esprit. Malgré cela, il dément l'idée reçu que l'argent fait le bonheur. Premièrement en parlant d'un article de la CNN, célèbre média américain. Cet article est un suivi des personnes ayant gagnés à la loterie une grosse somme. Il a été révélé que la plupart des vainqueurs, pensant que leurs vies deviendrait alors incroyable, mais dépensait tout et finissait même par s'endetter. De plus, beaucoup de personnes les ont trouvé pour leur demander de l'argent. Finalement, les chanceux tirés au sort r
epartent avec des relations sociales gachés, puis des dettes. Le bonheur ne serait donc pas proportionnel à la fortune de l'individu.
Michael Norton pense que l'argent est vécu de manière très individuelle, et qu'il à tendance à rendre égoïste. Lui et son équipe ont mis en place une expérience ciblé sur une université au Canada. Ils ont donné une enveloppe contenant une cetraines somme de monnaie à des étudiants. Dans la moitié des enveloppes, ils pouvaient voir l'instruction : "dépensez pour vous-même" et sur l'autre "offrez aux autres". En les appelant le soir, ils ont pu analyser que les étudiants avaient dépenser leur argent en maquillage, en bijoux, en café, mais cela ne les à pas rendu plus heureux, il ne s'est rien passé. A contrario, ceux qui ont dépenser l'argent de manière collective, en donnant à des sans-abris ou en offrant une peluche à leur soeur, ont pu constater qu'ils étaient plus heureux, sans que la somme d'argent ai de l'importance. Le fait de dépenser pour les autres, au-delà de la valeur monétaire, serait donc une grande source de bonheur.
L'expérience ayant été montée au Canada, les cobayes avaient tous plus ou moins une condition financière aisée, Michael Norton à voulu répéter l'expérience en Ouganda, pays très pauvre d'Afrique. Il à evidemment remarqué que les intentions et les motivations d'utiliser son argent pour les autres n'étaient absolument pas les mêmes dans ces deux pays. Acheter une peluche pour sa fille ou sauver un enfant du paludisme. Malgré ces différences immenses, l'expérience à été concluante. Les gens qui offraient aux autres plûtot que d'utiliser son argent pour soi les rendaient bien plus heureux.
Ils ont également évaluer ce rapport entre le bonheur personnel et le fait de donner aux autres. Sur 13
6 pays, la quasi totalité ont une corrélation positive entre ces deux notions. A l'exeption de quelques pays d'Afrique, utiliser son argent pour les autres rapporte enormement pour soi (cf. carte). Même en économie, il faut donc prendre en compte le bonheur collectif et le bonheur individuel. Dans cette conférence, le point de vue de Michael Norton est explicite : le partage et le don de soi est bien plus important que l'individualisme dans la quête du bonheur.
Carte mondiale du bonheur quand on utilise son argent pour autrui (le bonheur en vert)
Source URL: https://www.ted.com/talks/michael_norton_how_to_buy_happiness?language=fr
Auteur/Conférencier : TEDx - Michael Norton
Date : Novembre 2011
Liam Bigeard